UFC-Que Choisir de Marseille et des Alpes-Maritimes

ACCES AUX SOINS L’UFC – Que Choisir de MARSEILLE alerte sur l’aggravation de la fracture sanitaire dans notre département

Marseille, le 29 Juin 2016

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Quatre ans après un premier état des lieux de l’accès aux soins dans notre département, l’UFC – Que Choisir de MARSEILLE présente aujourd’hui les résultats d’une étude exclusive qui montre l’aggravation des déserts médicaux et la progression des dépassements d’honoraires sur notre territoire. Les résultats commune par commune sont disponibles gratuitement sur www.quechoisir.org.

Pour saisir la réalité vécue par les usagers du système de santé de notre territoire, l’accès aux soins doit être abordé conjointement dans ses deux dimensions : géographique et financière. C’est pourquoi notre étude porte sur l’offre exhaustive de médecins de ville de quatre spécialités (généralistes, ophtalmologistes, gynécologues et pédiatres), sur tout le département, en tenant compte de leur niveau de tarif le plus fréquent.

Déserts médicaux : la situation continue à se dégrader.

Dans notre département, l’accès aux médecins libéraux devient de plus en plus compliqué. Ainsi, depuis 2012, 9% de nos concitoyens ont vu leur accès géographique aux médecins généralistes reculer. Et cet élargissement des déserts médicaux concerne davantage encore les spécialistes : 22% de la population du département ont vu se réduire leur accès aux ophtalmologues, 51% aux pédiatres, et même 76% pour les gynécologues .

Conséquence de cette évolution, en 2016, c’est 2% de la population des Bouches du Rhône qui vit dans un désert médical pour l’accès aux généralistes, et jusqu’à 28 % pour les ophtalmologistes et pour les gynécologues.

Dépassements d’honoraires : un frein supplémentaire à l’accès aux médecins spécialistes

Quand on trouve un médecin, encore faut-il avoir les moyens de le consulter. C’est là que la problématique des dépassements d’honoraires prend toute son importance, notamment pour les usagers pas ou peu couverts par leur complémentaire santé, pour qui l’offre médicale disponible se réduit fortement.

Si les médecins généralistes pratiquent peu dépassements d’honoraires, ils sont en cours de généralisation chez les spécialistes. Ainsi, si l’on considère l’accès aux ophtalmologistes, les patients des Bouches du Rhône peinent à trouver un médecin au tarif de la sécurité sociale. Et trouver un gynécologue au tarif opposable ne sera pas une sinécure.

Une carte interactive gratuite pour connaître les résultats de votre commune

Décidée à alerter les usagers et les pouvoirs publics sur la dégradation inacceptable de l’accès aux soins dans notre territoire, l’UFC – Que Choisir met à disposition gratuitement sur son site internet www.quechoisir.org la carte interactive de la fracture sanitaire, pour que chacun puisse vérifier l’accès aux soins de sa commune, pour tout le département, selon le tarif maximal toléré.

Au vu de ces éléments, l’UFC – Que Choisir appelle les pouvoirs publics à tirer les leçons des échecs passés, et à mettre (enfin !) en œuvre une politique ambitieuse pour garantir l’accès de tous à des soins de qualité. C’est pourquoi l’UFC – Que Choisir de MARSEILLE demande aux parlementaires du département d’intervenir pour mettre en place :

–       La fermeture de l’accès au secteur 2 : les effets délétères du secteur 2 (dépassements d’honoraires libres) ne sont plus à prouver. Le Contrat d’accès aux soins (dépassements encadrés) ne pourra produire ses effets que s’il cesse d’être facultatif, pour devenir le substitut du secteur 2 dont l’accès doit être fermé.

–       Un conventionnement sélectif des médecins : toute nouvelle installation dans un territoire où l’offre est surabondante ne doit pouvoir se faire qu’en secteur 1 (sans dépassements d’honoraires), ce qui permettra une meilleure répartition géographique des médecins.

29 juin 2016

CHOISIRENSEMBLE.FR : Faisons baisser la facture d’électricité et de gaz dans la région PACA

Marseille – Nice le 21 juin 2016

Forte du succès des campagnes « gaz moins cher ensemble », et à la veille des prochaines augmentations du tarif réglementé de l’électricité (prochaine facture rétroactive, hausse au 1er août), l’UFC-Que Choisir de Marseille et des Alpes Maritimes participe au lancement de la campagne nationale « Énergie moins chère ensemble », ouverte à tous, sur le gaz de ville mais aussi, fait nouveau, sur l’électricité pour obtenir les meilleures offres possibles sur chacun de ces marchés[1].

Gaz et maintenant électricité : une véritable concurrence est possible sur les deux marchés !

Si sur le gaz, une véritable concurrence est possible depuis plusieurs années du fait de l’absence d’avantage concurrentiel du fournisseur historique ; sur l’électricité, la baisse significative des prix du marché de gros permet dorénavant aux fournisseurs alternatifs de concurrencer durablement le tarif règlementé d’EDF qui a augmenté de 27% depuis 2011. Alors que 48% des consommateurs ignorent encore qu’ils peuvent changer de fournisseur d’électricité (38% pour le gaz), l’UFC-Que Choisir décide donc de les rassembler pour les accompagner dans le changement à travers la campagne « Énergie moins chère ensemble ».

Une mise en concurrence des fournisseurs nationaux pour des prix du gaz et de l’électricité plus avantageux pour les habitants de PACA

Fin avril, la Fédération UFC-Que Choisir a adressé un épais cahier des charges aux fournisseurs nationaux d’électricité et/ou de gaz dans la perspective de les mettre en compétition, dans le cadre d’une enchère inversée (le moins disant l’emporte), et ainsi obtenir les meilleurs offres possibles financièrement pour le gaz et l’électricité. En effet, jusqu’à une époque récente, la forte baisse des prix sur les marchés de gros ne se reflétaient pas dans les offres de marché proposées aux consommateurs. Les fournisseurs ont jusqu’à fin juin pour faire part de leur intention de participer à l’enchère, étant entendu qu’ils doivent également se soumettre au volet du cahier des charges tendant à garantir une sécurité juridique pour les consommateurs.

La valeur ajoutée de l’UFC-Que Choisir : la sécurité juridique

Comme pour les précédentes campagnes, l’UFC-Que Choisir de Marseille et des Alpes Maritimes, entend, au-delà des prix, offrir une sécurité juridique aux consommateurs à travers des conditions contractuelles sûres, imposées par elle, et l’accompagnement des souscripteurs par la Fédération en cas d’éventuelles réclamations. Parmi les éléments imposés dans le contrat client on retrouve, par exemple, la possibilité de l’auto-relève, la facturation bimestrielle, la pluralité des modes paiement quel que soit le mode de facturation, ou encore la prise en compte des recommandations faites par la Commission des clauses abusives et le Médiateur national de l’énergie qui ne sont normalement pas contraignantes.

Le calendrier de la campagne « Énergie moins chère ensemble » est le suivant :

INSCRIPTION DES CONSOMMATEURS : du 21 juin au 21 septembre (inclus) sur www.choisirensemble.fr. ou auprès de nos bureaux :
– 5, rue Colbert – 13001 MARSEILLE – mail contact@marseille.ufcquechoisir.fr
– 7, rue Michelet -06000 NICE – mail : contact–alpesmaritimes@marseille.ufcquechoisir.fr
L’inscription est gratuite et sans engagement

OFFRES LAUREATES: Chacune des offres lauréates (gaz et électricité) sera dévoilée le 22 septembre 2016
OFFRES PERSONNALISÉES : à compter du 10 octobre, chaque inscrit reçoit une offre personnalisée sur la base de son profil de consommation, offre à laquelle il est libre de souscrire ou non. Indépendance oblige, pour couvrir les frais d’organisation, une participation de 10 euros sera demandée aux souscripteurs pour une énergie, et 14 euros pour les deux énergies (réduite respectivement
à 5/8 euros pour les adhérents aux associations locales ou abonnés aux publications de l’UFC-Que Choisir, au jour de leur inscription).
L’heure est donc à la mobilisation. Alors que les tarifs de l’énergie sont une préoccupation majeure pour Tous les habitants de nos départements et de notre région, l’UFC-Que Choisir de Marseille et des Alpes Maritimes appelle donc :

  • tous les abonnés (hors professionnels et copropriétés) au gaz de ville et à l’électricité (abonnés au tarif réglementé, aux offres du marché libre) à s’inscrire sur le site dédié : www.choisirensemble fr ou auprès de nos associations  locales
  • les fournisseurs nationaux de gaz et d’électricité à jouer le jeu de la concurrence au service des consommateurs en répondant à l’appel d’offres qui leur est lancé.

[1] L’opération est ouverte à l’ensemble des particuliers (hors professionnels et copropriétés) abonnés aux gaz de ville et à l’électricité, et ayant une consommation annuelle de gaz inférieure ou égale à 100 000 kWh et/ou une puissance électrique inférieure à 36 Kva. Attention, les zones géographiques desservies par les entreprises locales de distribution et non les gestionnaires de réseau de distribution nationaux (GRDF pour le gaz et ENEDIS (ex ERDF) pour l’électricité) ne sont pas concernées. En effet certaines zones sont desservies par des entreprises locales de distribution, ce qui ne permet pas aux fournisseurs nationaux de pouvoir distribuer leur gaz dans les mêmes conditions que dans le reste du territoire. Afin d’éviter d’exposer les consommateurs à des problèmes de fourniture, nous avons donc préféré exclure ces communes de l’opération.

21 juin 2016

Responsabilité professionnelle et mise en jeu de l’assurance décennale.

Monsieur C. souscrit un contrat de vente et de pose de panneaux photovoltaïques pour une somme de plus 22 000€ auprès de la société AIXIA 13 83 PV, société basée dans la Z.I. d’Aubagne.

Les travaux d’installation sont exécutés dans les délais convenus et la société semble en règle, fournissant même à son client une attestation de conformité ainsi que son attestation d’assurance décennale.

Moins de deux ans après l’installation, Monsieur C. remarque des  malfaçons et prend alors immédiatement contact avec la société venderesse qui va intervenir plusieurs fois, sans régler les problèmes soulevés. Dans le même temps, notre adhérent fait une déclaration de sinistre auprès de l’assurance décennale.

Il nous consulte au bout de quatre ans car il n’obtient plus aucune réponse, ni de la société, ni de son assurance.

L’assurance – GAN – refuse d’abord son intervention en invoquant que la société en cause n’était pas assurée chez eux, se basant pour cela uniquement sur le bon de commande.

Effectivement, à y regarder de plus près, l’attestation d’assurance donnée par le professionnel concernait non pas la société AIXIA 13 83 PV mais la société AIXIA TECH.

Toutefois, le consommateur pouvait légitimement croire qu’il s’agissait de la même société.

En effet, la raison sociale était quasi-similaire, l’adresse et le numéro de téléphone inchangés.

Par ailleurs, nous avions remarqué que l’attestation de conformité – document obligatoire – était tamponnée par la société AIXIA TECH, bien assurée au GAN. De plus, l’attestation d’assurance fournie à notre adhérent couvrait également celle-ci en cas d’intervention en qualité de sous-traitant. Or, à défaut de considérer la société AIXIA TECH comme cocontractant direct, sa qualité de sous-traitant ne pouvait être ignorée.

Suite à plusieurs interventions de notre part, le GAN a enfin accepter de faire procéder à une expertise et a alloué à notre adhérent la somme de 9 950€ à titre de réparation de son préjudice.

P.B. – 06/2016

 

 

 

 

 

15 juin 2016

Enquête sur les allergènes Les professionnels allergiques à la bonne information des consommateurs

Près d’un an après l’entrée en vigueur de l’obligation d’une information écrite sur la présence d’allergènes dans les aliments non emballés(1)  et alors que les accidents allergiques ont doublé chez les enfants(2) , l’UFC-Que Choisir publie aujourd’hui les résultats inquiétants d’une enquête de terrain exclusive dans les restaurants, les boulangeries-pâtisseries et les rayons coupe de la distribution.

La bonne information des 6 à 9 millions de consommateurs souffrant d’allergies et d’intolérances alimentaires est un enjeu crucial sachant que la seule solution pour éviter des accidents potentiellement mortels ou des affections très invalidantes, consiste à écarter tous les aliments contenant le composé nocif. C’est pourquoi les enquêteurs de l’UFC-Que Choisir ont étudié la mise en application de la nouvelle obligation réglementaire d’information des consommateurs dans 375 commerces répartis dans 81 départements(3) .

•    L’information donne des boutons aux commerçants
Seule la restauration rapide respecte strictement la lettre du Décret. Mc Donald’s, Quick et KFC mettent à disposition l’information sur les allergènes dans la totalité des 9 établissements visités. Pour la grande distribution en revanche, il est inadmissible qu’un quart des 134 magasins visités soit encore hors la loi ! Si aucune enseigne n’est en mesure de réaliser le ‘sans faute’, Monoprix est en tête avec 88 % de magasins visités publiant les allergènes. Géant-Casino est en fin de classement avec seulement 57 % de magasins enquêtés donnant l’information sur les allergènes, soit à peine plus d’un magasin sur deux.

Quant aux 232 commerces artisanaux (boulangeries-pâtisseries, traiteurs et restaurants de quartier), ce sont les cancres en matière d’information, 75% d’entre eux ne publiant pas la moindre information sur les allergènes !
Le petit commerce est également dernier de la classe en matière d’accueil : dans près d’un commerce sur cinq, l’attitude des commerçants est peu coopérative, voire franchement hostile ! Pourtant le droit à une information fiable, loin d’être une lubie, est un enjeu de santé pour les consommateurs allergiques ou intolérants.
•    Une information trop peu digeste
Profitant d’une rédaction ambiguë du décret sur les modalités d’information des consommateurs, les professionnels se contentent trop souvent de compiler les informations, sans se soucier d’en faciliter la lisibilité par les consommateurs. Ainsi tous les restaurants de « fast food » visités regroupent les allergènes pour l’ensemble des produits sur des affiches de petite taille très peu lisibles. Quant à la grande distribution, les consommateurs doivent trop souvent chercher les allergènes perdus dans des classeurs au milieu de centaines d’autres références. Il faut cependant saluer l’effort de lisibilité réalisé par certaines enseignes –au premier rang desquelles Auchan- qui privilégient des étiquettes individuelles bien lisibles placées sur chaque aliment.
•    L’étiquetage de précaution protège les commerçants, mais n’informe pas les consommateurs
Il est inadmissible que 60% des magasins de la grande distribution et un tiers des petits commerçants visités mentionnent la présence éventuelle de traces d’allergènes, alors même que les procédés permettant de limiter les contaminations accidentelles lors de la fabrication n’ont jamais été aussi bien maîtrisés et contrôlés. Ces étiquetages de « précaution » mis aujourd’hui dans le seul but de dédouaner la responsabilité légale des professionnels en cas d’accident allergique, ont pour effet collatéral de restreindre encore plus le choix des consommateurs allergiques.

Ces constats sont d’autant plus désolants que l’allergie, loin d’être anodine,  figure désormais au 4e rang des maladies chroniques selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il ne s’agit donc pas d’un simple problème d’information mais bel et bien d’un enjeu de santé publique. Profondément attachée à garantir aux consommateurs allergiques et intolérants, l’accès à une alimentation présentant toutes les garanties de sécurité, l’UFC-Que Choisir :

Demande aux Pouvoirs Publics de contrôler la bonne application de la nouvelle obligation réglementaire et de sanctionner les contrevenants ;
Réclame une réécriture du décret pour préciser les modalités d’information des consommateurs, afin que les allergènes soient indiqués par le biais d’étiquettes individuelles placées directement auprès des aliments ;
S’oppose à la généralisation de l’étiquetage de précaution et saisit à cet effet l’Anses pour que celle-ci encadre strictement son utilisation.

(1) Décret n° 2015-447 du 17 avril 2015 relatif à l’information des consommateurs sur les allergènes et les denrées alimentaires non préemballées, entré en vigueur le 1er juillet 2015

(2 )Entre 2005 et 2008, les accidents anaphylactiques ont augmenté de 109 % en France chez les enfants – Source avis n°66 du Conseil National de l’Alimentation – Janvier 2010

(3) Enquête terrain réalisée du 12 au 26 mars 2016 dans 81 départements sur 375 commerces : 134 magasins des grandes enseignes de la distribution (aux rayons traiteurs à la coupe), 112 boulangeries-pâtisseries, 71 restaurants de quartier, 49 traiteurs et 9 établissements de restauration rapide.

Retrouvez l’étude relative à ce communiqué : « Etiquetage des allergènes sur les aliments non emballés : un an après la Loi, les professionnels toujours allergiques à leurs obligations » www:quechoisir.org

160607_Synthèse allergènes
(PDFFD – 46906 Ko)

CP/FD/06/2016

7 juin 2016

CHOISIRSONFIOUL.FR – INSCRIVEZ VOUS GRATUITEMENT DU 6 au 17 JUIN

Ensemble, faisons baisser la facture de fioul de la région PACA!

Consciente du poids du cout de l’énergie dans le budget des ménages, l’ UFC-Que Choisir de Marseille et des Alpes Maritimes proposent aux habitants de PACA de se rassembler, grâce au site www.choisirsonfioul.fr, pour faire baisser la facture des 1 000 000 de logements et résidences de la Région chauffés au fioul.

Après une forte baisse du prix du fioul domestique l’an dernier (- 14 % sur l’année 2015), on assiste en effet depuis le début de l’année à une remontée des prix (+ 6 % entre janvier et avril)[1]. Afin de faire baisser la facture, cette campagne organise le regroupement des consommateurs chauffés au fioul en vue de lancer concomitamment un appel d’offres auprès des distributeurs locaux de fioul. L’objectif est clair : mutualiser les coûts de distribution et ainsi alléger la facture de fioul des consommateurs.

Cet allègement de la facture est essentiel pour les ménages en situation de vulnérabilité énergétique. Faut-il en effet rappeler que, depuis la suppression de la prime à la cuve en 2009, les ménages chauffés au fioul restent les grands oubliés de la lutte contre la précarité énergétique ? Les tarifs sociaux sont limités au gaz et à l’électricité, et le « chèque énergie » pour le fioul, institué par la Loi de transition énergétique, ne sera pleinement applicable qu’en… 2018. De même, changer d’énergie pour ces ménages est particulièrement difficile (changer de mode de chauffage est coûteux, et parfois impossible, notamment pour le gaz de ville).

Les habitants de la Région PACA chauffés au fioul peuvent s’inscrire gratuitement et sans engagement sur le site choisirsonfioul.fr[2] en vue de recevoir une offre personnalisée sur la base de l’offre lauréate qui résultera de l’appel appel d’offres lancé aux différents distributeurs locaux (petite et moyenne entreprise, grande distribution, groupes pétroliers).

L’inscription court du 6 juin 2016 au 17 juin 2016 midi.  Les inscrits recevront leur offre personnalisée le 17 juin 2016 au soir et auront 72 h pour y souscrire ou non. En cas de souscription, la livraison du fioul devra intervenir dans les 15 jours.

Indépendance oblige, pour couvrir les frais d’organisation de la campagne, une participation aux frais de 5 euros sera demandée aux seuls consommateurs souscripteurs.

Par ailleurs, soucieuse de promouvoir une consommation sobre en énergie, l’UFC-Que Choisir a mis en ligne sur le site choisirsonfioul.fr, un  guide pratique des bons réflexes en vue d’inciter les consommateurs à réduire leur consommation énergétique.

L’UFC-Que Choisir de PACA invite donc les habitants de la région à répondre à l’appel du soyons plus pour payer moins, et les distributeurs locaux de fioul à participer à l’appel d’offres.

Rendez-vous sur www.choisirsonfioul.fr             –
[1] Calcul à partir des prix  de vente moyens mensuels nationaux (TTC) du fioul domestique, pour 2000 l. Données de la DIREM/DGEC : http://www.developpement-durable.gouv.fr/Prix-de-vente-moyens-des,10724.html
[2] Les consommateurs n’ayant pas Internet peuvent s’inscrire par voie téléphonique au 09.70.26.34.30 (prix d’un appel local) ou 06.71.44.37.41 (Du lundi au vendredi : 8h à 19h – samedi : 9h à 12h). Ou auprès de l’association locale UFC-Que Choisir de MARSEILLE ET DES ALPES MARITIMES – 0491900552

5 juin 2016